PROGRAMMATION MAI 2007
CAPITAL
De Sarah Morris
Washington/USA, 2000, 18 min, VOSTF
Peintre et cinéaste, Sarah Morris explore dans son travail l’environnement construit et notre relation avec celui-ci. Utilisant dans ses films l’architecture urbaine comme métaphore et reflet des forces sociales, économiques et politiques, elle célèbre et critique à la fois la ville américaine.
Le travail de Sarah Morris inclut des films 16mm, des peintures et des gravures abstraites qui explorent l’environnement construit et notre relation avec celui-ci. Utilisant dans ses films l’architecture urbaine comme métaphore et reflet des forces sociales, économiques et politiques, elle célèbre et critique à la fois la ville américaine.
Pour chacun de ses portraits de ville, elle tourne à un moment qui, à lui seul, cristallise l’atmosphère de la cité choisie : pendant la Cérémonie des Oscars dans son travail dédié à Los Angeles, ou lors du dernier jour de la législature de Bill Clinton pour le portrait de la capitale, Washington. Elle dépeint ainsi un monde d'illusions, explore l'environnement urbain américain, s'interrogeant sur la question du pouvoir social et de la représentation
Washington/USA, 2000, 18 min, VOSTF
Peintre et cinéaste, Sarah Morris explore dans son travail l’environnement construit et notre relation avec celui-ci. Utilisant dans ses films l’architecture urbaine comme métaphore et reflet des forces sociales, économiques et politiques, elle célèbre et critique à la fois la ville américaine.
Le travail de Sarah Morris inclut des films 16mm, des peintures et des gravures abstraites qui explorent l’environnement construit et notre relation avec celui-ci. Utilisant dans ses films l’architecture urbaine comme métaphore et reflet des forces sociales, économiques et politiques, elle célèbre et critique à la fois la ville américaine.
Pour chacun de ses portraits de ville, elle tourne à un moment qui, à lui seul, cristallise l’atmosphère de la cité choisie : pendant la Cérémonie des Oscars dans son travail dédié à Los Angeles, ou lors du dernier jour de la législature de Bill Clinton pour le portrait de la capitale, Washington. Elle dépeint ainsi un monde d'illusions, explore l'environnement urbain américain, s'interrogeant sur la question du pouvoir social et de la représentation
TWO IMPOSSIBLE FILMS / LE TEMPS RETROUVÉ
De Mark Lewis
Vancouver/Canada, 1995, 25 min, VOSTF
Depuis quelques années, un grand nombre de tournages ont lieu à Vancouver. La ville sert de double à des villes américaines, comme dans The Story of Psychoanalysis, où la ville apparaissant à l'écran fait souvent référence à une autre ville.
Ce film est en fait composé des séquences d'ouverture et de fin de deux films qui n'ont jamais vu le jour : Das Kapital, d'après l'œuvre de Karl Marx, qu'Eisenstein projetait de réaliser, et The Story of Psychoanalysis, que Samuel Goldwyn espérait produire avec le concours de Freud. Lewis réalise les génériques de ces deux films, déconstruction ironique du récit du cinéma hollywoodien, et examine les rapports qu'ils entretiennent avec le contenu d'un film, reflétant l'importance croissante des génériques au cinéma depuis les années 1950. Ces séquences ont été tournées à Vancouver, au Canada. Das Kapital, par exemple, commence par un large plan de la ville filmée d'un hélicoptère, une référence aux traditionnelles prises de vues de Manhattan. Depuis quelques années, un grand nombre de tournages ont lieu à Vancouver. La ville sert de double à des villes américaines, comme dans The Story of Psychoanalysis, où la ville apparaissant à l'écran fait souvent référence à une autre ville.
Vancouver/Canada, 1995, 25 min, VOSTF
Depuis quelques années, un grand nombre de tournages ont lieu à Vancouver. La ville sert de double à des villes américaines, comme dans The Story of Psychoanalysis, où la ville apparaissant à l'écran fait souvent référence à une autre ville.
Ce film est en fait composé des séquences d'ouverture et de fin de deux films qui n'ont jamais vu le jour : Das Kapital, d'après l'œuvre de Karl Marx, qu'Eisenstein projetait de réaliser, et The Story of Psychoanalysis, que Samuel Goldwyn espérait produire avec le concours de Freud. Lewis réalise les génériques de ces deux films, déconstruction ironique du récit du cinéma hollywoodien, et examine les rapports qu'ils entretiennent avec le contenu d'un film, reflétant l'importance croissante des génériques au cinéma depuis les années 1950. Ces séquences ont été tournées à Vancouver, au Canada. Das Kapital, par exemple, commence par un large plan de la ville filmée d'un hélicoptère, une référence aux traditionnelles prises de vues de Manhattan. Depuis quelques années, un grand nombre de tournages ont lieu à Vancouver. La ville sert de double à des villes américaines, comme dans The Story of Psychoanalysis, où la ville apparaissant à l'écran fait souvent référence à une autre ville.
OCCUPATION
De John Menick
Aubervilliers/France, 2006, 18 min
C'est sous l'oeil d'un homme contraint à une forme de marginalité que le paysage se découvre dans sa singularité, sa diversité et son développement.
Le film fait écho au film Aubervilliers réalisé en 1945 par Eli Lotar et Jacques Prévert. Occupation porte un regard sensible sur la banlieue nord parisienne sans pour autant recourir à une représentation misérabiliste. C'est sous l'oeil d'un homme contraint à une forme de marginalité que le paysage se découvre dans sa singularité, sa diversité et son développement.
Aubervilliers/France, 2006, 18 min
C'est sous l'oeil d'un homme contraint à une forme de marginalité que le paysage se découvre dans sa singularité, sa diversité et son développement.
Le film fait écho au film Aubervilliers réalisé en 1945 par Eli Lotar et Jacques Prévert. Occupation porte un regard sensible sur la banlieue nord parisienne sans pour autant recourir à une représentation misérabiliste. C'est sous l'oeil d'un homme contraint à une forme de marginalité que le paysage se découvre dans sa singularité, sa diversité et son développement.
SEANCE UNIQUE
lundi 14 mai à 21h
