France, 1996, 1h15
École & Cinéma 2025/26 - Cycle 2/Cycle 3- 2ème trimestre
Pour revenir à la page d'accueil Maternelle au Cinéma/École & Cinéma, cliquez ici
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Dans un petit coin de campagne, le soleil se lève et le monde à la fois immense et minuscule des insectes se réveille et s'anime sous nos yeux.
"Jamais l'aventure quotidienne de ces « personnages » n'avait été filmée ainsi : ni leçon de choses ni document scientifique, Microcosmos (un succès exceptionnel dans le monde entier) est d'abord une invitation au spectacle. En supprimant tout commentaire, les auteurs font surgir une foule d'images venues d'ailleurs. C'est-à-dire... de tout près, dans le champ d'à côté. Ils n'expliquent pas, ils montrent. Mais ils ne se contentent pas d'enregistrer la réalité, ils la mettent en scène. Ils filment les insectes comme des acteurs. D'étonnants mouvements d'appareil collent aux personnages dans leurs déplacements les plus complexes, comme si un cadreur miniaturisé avait travaillé caméra à l'épaule." Bernard Génin, Télérama
"Il ne s’agit pas, selon les termes des réalisateurs de proposer au spectateur « un voyage organisé (avec un mode d’emploi), mais bien plutôt un voyage aventureux, hasardeux, risqué ». L’idée est de plonger le public dans le vivant, sans un mot ou presque, pour lui offrir la possibilité d’aborder la matière sensible du monde animal avec ses propres connaissances et ses émotions intimes tout en évitant le dessèchement conceptuel que peut provoquer la démarche scientiste du documentaire animalier. Ainsi approché, l’animal, aussi minuscule soit-il, devient « une puissance de fascination, un point d’interrogation. Un semblable et un différent dans le même temps." Extrait du Cahier de notes École & Cinéma par Bartlomiej Woznica
"Jamais l'aventure quotidienne de ces « personnages » n'avait été filmée ainsi : ni leçon de choses ni document scientifique, Microcosmos (un succès exceptionnel dans le monde entier) est d'abord une invitation au spectacle. En supprimant tout commentaire, les auteurs font surgir une foule d'images venues d'ailleurs. C'est-à-dire... de tout près, dans le champ d'à côté. Ils n'expliquent pas, ils montrent. Mais ils ne se contentent pas d'enregistrer la réalité, ils la mettent en scène. Ils filment les insectes comme des acteurs. D'étonnants mouvements d'appareil collent aux personnages dans leurs déplacements les plus complexes, comme si un cadreur miniaturisé avait travaillé caméra à l'épaule." Bernard Génin, Télérama
"Il ne s’agit pas, selon les termes des réalisateurs de proposer au spectateur « un voyage organisé (avec un mode d’emploi), mais bien plutôt un voyage aventureux, hasardeux, risqué ». L’idée est de plonger le public dans le vivant, sans un mot ou presque, pour lui offrir la possibilité d’aborder la matière sensible du monde animal avec ses propres connaissances et ses émotions intimes tout en évitant le dessèchement conceptuel que peut provoquer la démarche scientiste du documentaire animalier. Ainsi approché, l’animal, aussi minuscule soit-il, devient « une puissance de fascination, un point d’interrogation. Un semblable et un différent dans le même temps." Extrait du Cahier de notes École & Cinéma par Bartlomiej Woznica