Chronique des années de braise
Retour à la raison de Man Ray
- - mercredi 20/08 18:45 - - vendredi 29/08 16:30 - - mardi 2/09 18:45 - - lundi 8/09 20:30
Chronique des années de braise (Ahdat Sanawovach El-Djamr) de Mohammed Lakhdar-Hamina
- - dimanche 31/08 13:00 - - jeudi 4/09 17:15 - - dimanche 7/09 13:30 - - jeudi 11/09 16:30 - - mardi 16/09 20:00 *
* séance présentée par Alain Messaoudi, maître de conférences en histoire contemporaine à Nantes Université
Stop Making Sense de Jonathan Demme
- - mercredi 20/08 16:45 - - dimanche 24/08 16:15 - - mercredi 27/08 18:45 - - jeudi 28/08 20:30 - - mardi 9/09 18:00
Palombella Rossa de Nanni Moretti
- - jeudi 4/09 20:45 - - samedi 6/09 19:00 - - lundi 8/09 18:30 - - mercredi 10/09 16:15 - - samedi 13/09 16:15
Ils vont tous bien ! (Stanno tutti bene) de Giuseppe Tornatore
- - vendredi 22/08 20:30 - - mardi 26/08 18:00 - - mercredi 27/08 16:15 - - samedi 30/08 18:30 - - lundi 1/09 18:15
• • •
// Věra Chytilová : une artiste rebelle
Née en 1929, elle étudie l’architecture, travaille comme mannequin et à l’occasion d’un rôle de figuration découvre le cinéma. Afin de ne pas rester dans des emplois secondaires, elle rejoint la FAMU (École de Cinéma de Prague), elle a 29 ans, est la seule femme, et doit lutter contre l’hostilité générale et contre ses propres doutes. Considérée avec Forman comme chef·fes de file d’un nouveau cinéma tchécoslovaque, elle ne choisit pas l’exil afin de rester fidèle à ses intentions, au plus près de ses propres racines : l’existence quotidienne, la sienne, celle de ses voisins et de ses familiers.
"Le mensonge dans l’art devrait être poursuivi en justice – de même que l’irresponsabilité. Chacun doit répondre de ses actes et de ses paroles. Nous devons être capables de signer tout ce que nous faisons. C’est le seul moyen de rendre à notre travail la face qu’il a perdue." Věra Chytilová.
Si l’on connaît cette réalisatrice par son film manifeste de la nouvelle vague tchèque Les Petites marguerites, découvrons ses trois premiers films qui préfigurent les expérimentations visuelles et rythmiques qui marqueront son style et le thème qui traverse toute son œuvre, celui de la condition des femmes.
- Catherine Cavelier
Le Plafond (Strop) de Věra Chytilová
suivi de Un sac de puces (Pytel blech) de Věra Chytilová
- - vendredi 19/09 16:00 - - dimanche 21/09 20:45 - - jeudi 25/09 18:30 - - dimanche 28/09 16:15
Quelque chose d'autre (O necem jiném) de Věra Chytilová
- - jeudi 18/09 18:00 - - samedi 20/09 19:00 - - vendredi 26/09 16:00 - - dimanche 28/09 20:45
- - mercredi 20/08 18:45 - - vendredi 29/08 16:30 - - mardi 2/09 18:45 - - lundi 8/09 20:30
Chronique des années de braise (Ahdat Sanawovach El-Djamr) de Mohammed Lakhdar-Hamina
- - dimanche 31/08 13:00 - - jeudi 4/09 17:15 - - dimanche 7/09 13:30 - - jeudi 11/09 16:30 - - mardi 16/09 20:00 *
* séance présentée par Alain Messaoudi, maître de conférences en histoire contemporaine à Nantes Université
Stop Making Sense de Jonathan Demme
- - mercredi 20/08 16:45 - - dimanche 24/08 16:15 - - mercredi 27/08 18:45 - - jeudi 28/08 20:30 - - mardi 9/09 18:00
Palombella Rossa de Nanni Moretti
- - jeudi 4/09 20:45 - - samedi 6/09 19:00 - - lundi 8/09 18:30 - - mercredi 10/09 16:15 - - samedi 13/09 16:15
Ils vont tous bien ! (Stanno tutti bene) de Giuseppe Tornatore
- - vendredi 22/08 20:30 - - mardi 26/08 18:00 - - mercredi 27/08 16:15 - - samedi 30/08 18:30 - - lundi 1/09 18:15
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// Věra Chytilová : une artiste rebelle
Née en 1929, elle étudie l’architecture, travaille comme mannequin et à l’occasion d’un rôle de figuration découvre le cinéma. Afin de ne pas rester dans des emplois secondaires, elle rejoint la FAMU (École de Cinéma de Prague), elle a 29 ans, est la seule femme, et doit lutter contre l’hostilité générale et contre ses propres doutes. Considérée avec Forman comme chef·fes de file d’un nouveau cinéma tchécoslovaque, elle ne choisit pas l’exil afin de rester fidèle à ses intentions, au plus près de ses propres racines : l’existence quotidienne, la sienne, celle de ses voisins et de ses familiers.
"Le mensonge dans l’art devrait être poursuivi en justice – de même que l’irresponsabilité. Chacun doit répondre de ses actes et de ses paroles. Nous devons être capables de signer tout ce que nous faisons. C’est le seul moyen de rendre à notre travail la face qu’il a perdue." Věra Chytilová.
Si l’on connaît cette réalisatrice par son film manifeste de la nouvelle vague tchèque Les Petites marguerites, découvrons ses trois premiers films qui préfigurent les expérimentations visuelles et rythmiques qui marqueront son style et le thème qui traverse toute son œuvre, celui de la condition des femmes.
- Catherine Cavelier
Le Plafond (Strop) de Věra Chytilová
suivi de Un sac de puces (Pytel blech) de Věra Chytilová
- - vendredi 19/09 16:00 - - dimanche 21/09 20:45 - - jeudi 25/09 18:30 - - dimanche 28/09 16:15
Quelque chose d'autre (O necem jiném) de Věra Chytilová
- - jeudi 18/09 18:00 - - samedi 20/09 19:00 - - vendredi 26/09 16:00 - - dimanche 28/09 20:45