FESTIVAL PLAY IT AGAIN ! • AVRIL 2015
France, 1973, 1h36
avec Didier Sauvegrain, Roseline Vuillaume, Alain Noël, Jean-Pierre Frescaline
NUM • VERSION RESTAURÉE
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avec Didier Sauvegrain, Roseline Vuillaume, Alain Noël, Jean-Pierre Frescaline
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Dans un village de province, les jeunes gens n’ont d’autre choix pour trouver du travail que d’être embauchés à l’importante fabrique de meubles. Le patron de l’ébénisterie veut obliger ses employés qui portent les cheveux longs à se les couper. Tous ne réagissent pas de la même façon… Découverte d’une pépite oubliée du cinéma français, cousin du cinéma de Maurice Pialat.
"La ligne narrative est droite, pure, limpide, l'écriture d'une concision absolue. Condroyer excelle à décrire la vie de groupe et ses effets, autant que la solitude intérieure d'un jeune homme ; les rapports de pouvoir où chacun campe sur sa position comme le crève-cœur des relations familiales, où s'affrontent inégalement l'amour, le devoir et l'autonomie morale ; l'échappée belle des premiers émois amoureux qui se heurte aux difficultés rencontrées au travail ; la vivacité des échanges et l'impossibilité de formuler ce qui arrive. Dépouillé dans sa forme, presque ascétique, le film n'en fait pas moins vibrer chaque plan par la beauté des cadres, une lumière de campagne pluvieuse, le retour de certains motifs (une route, un autocar) ou la grâce des jeunes interprètes."
Florence Maillard, Les Cahiers du Cinéma
"La ligne narrative est droite, pure, limpide, l'écriture d'une concision absolue. Condroyer excelle à décrire la vie de groupe et ses effets, autant que la solitude intérieure d'un jeune homme ; les rapports de pouvoir où chacun campe sur sa position comme le crève-cœur des relations familiales, où s'affrontent inégalement l'amour, le devoir et l'autonomie morale ; l'échappée belle des premiers émois amoureux qui se heurte aux difficultés rencontrées au travail ; la vivacité des échanges et l'impossibilité de formuler ce qui arrive. Dépouillé dans sa forme, presque ascétique, le film n'en fait pas moins vibrer chaque plan par la beauté des cadres, une lumière de campagne pluvieuse, le retour de certains motifs (une route, un autocar) ou la grâce des jeunes interprètes."
Florence Maillard, Les Cahiers du Cinéma
Séances
Samedi 25/04 14:00
- S.M.E (sous-titres pour les sourds & les malentendants) disponibles, nous contacter
- Audiodescription disponible pour les malvoyants, nous contacter
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