PROGRAMMATION DÉCEMBRE  2010
				 
			 
					 USA, 1965, 1h57, VOSTF
					 
Avec Elizabeth Taylor, Richard Burton, Eva Marie Saint
RÉÉDITION
					 
					 
					 
				 
			 Avec Elizabeth Taylor, Richard Burton, Eva Marie Saint
RÉÉDITION
			 
					 Installée sur la côte californienne et vivant en symbiose avec la nature, la peintre Laura Reynolds élève seule son jeune fils, à sa manière anticonformiste. Mais la société puritaine veille : un juge décide de placer de force le garçon en pension dans un collège épiscopalien dirigé par le pasteur Hewitt. Ce dernier se retrouve à la fois fasciné et troublé par la liberté de Laura et son refus des conventions sociales.
					 
					 
					 
« Le Chevalier des sables peut paraître une œuvre de réconciliation. Il faut vivre avec la réalité et ramener ses rêves à la mesure humaine. Il me paraît plutôt être un témoignage de sérénité : les êtres les plus exaltés y apprennent à vivre en tenant compte des autres. Le rêve donnant au monde réel la beauté nécessaire pour que l’homme puisse y vivre. »
François Guérif
					 
					 
« Ces deux-là [Laura et le pasteur Hewitt], dissemblables au possible, vont s'attirer, bien sûr. Mais c'est moins leur amour qui passionne que l'irruption soudaine du doute dans leurs vies. L'affaissement de leurs certitudes. Car, au contact de l'autre, la « rebelle » prendra conscience de la sécheresse, dissimulée sous ses blessures, tandis que le « saint homme », lui, reconnaîtra l'appauvrissement de sa foi. Vincente Minnelli filme cette double naissance en esthète, parsemant de ses rouges célèbres les paysages bleutés de Big Sur, filmé comme une sorte de paradis indestructible, mais indifférent aux émois humains. »
Pierre Murat, Télérama
					 
					 
					  
				 
			 « Le Chevalier des sables peut paraître une œuvre de réconciliation. Il faut vivre avec la réalité et ramener ses rêves à la mesure humaine. Il me paraît plutôt être un témoignage de sérénité : les êtres les plus exaltés y apprennent à vivre en tenant compte des autres. Le rêve donnant au monde réel la beauté nécessaire pour que l’homme puisse y vivre. »
François Guérif
« Ces deux-là [Laura et le pasteur Hewitt], dissemblables au possible, vont s'attirer, bien sûr. Mais c'est moins leur amour qui passionne que l'irruption soudaine du doute dans leurs vies. L'affaissement de leurs certitudes. Car, au contact de l'autre, la « rebelle » prendra conscience de la sécheresse, dissimulée sous ses blessures, tandis que le « saint homme », lui, reconnaîtra l'appauvrissement de sa foi. Vincente Minnelli filme cette double naissance en esthète, parsemant de ses rouges célèbres les paysages bleutés de Big Sur, filmé comme une sorte de paradis indestructible, mais indifférent aux émois humains. »
Pierre Murat, Télérama
Séances
					 vendredi 31 décembre à 18h30
					 
lundi 3 janvier à 18h30
jeudi 6 janvier à 20h45
samedi 8 janvier à 14h15
			 lundi 3 janvier à 18h30
jeudi 6 janvier à 20h45
samedi 8 janvier à 14h15




