PROGRAMMATION MARS 2011
Japon, 2007, 1h39, VOSTF, animation
La rencontre entre deux adolescents que tout semble opposer : l’un fils de bonne famille, l’autre, enfant des rues... Ils partagent pourtant une même passion et un même talent qui va les unir autour d’un mystérieux piano au milieu de la forêt.
« Un dessin animé très joliment pédagogique, pour célébrer l'amour de la musique à travers l'amitié et la rivalité entre deux enfants. L'un possède la technique, l'autre est animé par la passion. Cerveau gauche, cerveau droit, le monde de l'école et celui de la forêt s'interpénètrent mystérieusement. Mozart, Beethoven et Chopin s'y promènent, sous les doigts de Vladimir Ashkenazy. Et la réflexion se mêle à la fantaisie. »
Marie-Noëlle Tranchant, Le Figaro
« (…) Le scénario tourne autour d'un objet inanimé, doué d'une âme, un piano à queue, abandonné dans une clairière dont seul peut jouer un garçon autodidacte. Autour de ce piano magique, tournent aussi un professeur de musique brisé par la vie et un jeune prodige.
Jamais le film ne choisit entre son hypothèse fantastique et le pseudo-réalisme de la vie de bêtes à concours de piano. Et c'est aussi bien comme ça. Kai, le petit autodidacte est assailli par des spectres de Mozart pendant que son camarade Shuhei est longuement montré en train de répéter (…).
Le film peut également servir d'initiation au répertoire classique pour piano, de Mozart à Debussy, tout en proposant, lors de la séquence finale, un très joli personnage de chipie virtuose.»
Thomas Sotinel, Le Monde
« Un dessin animé très joliment pédagogique, pour célébrer l'amour de la musique à travers l'amitié et la rivalité entre deux enfants. L'un possède la technique, l'autre est animé par la passion. Cerveau gauche, cerveau droit, le monde de l'école et celui de la forêt s'interpénètrent mystérieusement. Mozart, Beethoven et Chopin s'y promènent, sous les doigts de Vladimir Ashkenazy. Et la réflexion se mêle à la fantaisie. »
Marie-Noëlle Tranchant, Le Figaro
« (…) Le scénario tourne autour d'un objet inanimé, doué d'une âme, un piano à queue, abandonné dans une clairière dont seul peut jouer un garçon autodidacte. Autour de ce piano magique, tournent aussi un professeur de musique brisé par la vie et un jeune prodige.
Jamais le film ne choisit entre son hypothèse fantastique et le pseudo-réalisme de la vie de bêtes à concours de piano. Et c'est aussi bien comme ça. Kai, le petit autodidacte est assailli par des spectres de Mozart pendant que son camarade Shuhei est longuement montré en train de répéter (…).
Le film peut également servir d'initiation au répertoire classique pour piano, de Mozart à Debussy, tout en proposant, lors de la séquence finale, un très joli personnage de chipie virtuose.»
Thomas Sotinel, Le Monde
Séances
jeudi 3 mars à 14h30
mercredi 9 mars à 14h30
vendredi 11 mars à 14h30
dimanche 13 mars à 16h30
mercredi 9 mars à 14h30
vendredi 11 mars à 14h30
dimanche 13 mars à 16h30
